Chacun se fait une représentation différente de l’hypnose. Et c’est compréhensible car il en existe différents types. Ici on ne parle pas de l’hypnose de spectacle, comme vous pouvez le voir à la télévision.
L'hypnose que je pratique dans mon cabinet à Lyon, et pour laquelle je suis formé est l’hypnose ericksonienne.
Elle s’utilise dans le cadre de thérapies brèves, pour vous aider à surmonter vos difficultés. Qu’elles soient passagères ou bien ancrées.
Sigmund Freud
Chacun se fait une représentation différente de l’hypnose. Et c’est compréhensible car il en existe différents types. Ici on ne parle pas de l’hypnose de spectacle, comme vous pouvez le voir à la télévision.
L'hypnose que je pratique dans mon cabinet à Lyon, et pour laquelle je suis formé est l’hypnose ericksonienne.
Elle s’utilise dans le cadre de thérapies brèves, pour vous aider à surmonter vos difficultés. Qu’elles soient passagères ou bien ancrées.
Cette discipline ne se substitue pas à un traitement médical. Elle entre dans le cadre de thérapies brèves.
Elle permet de modifier des comportements gênants, voire handicapants, et d’accéder à des solutions pour mettre en place le changement.
Du grec « hypnos » qui signifie sommeil.
Le phénomène hypnotique existe depuis l’antiquité. Déjà, sur tous les continents, les hommes-médecine, les chamans, ou les yogis avaient recours aux états de transe pour guérir leurs pairs.
Mais il faut remonter à la fin du 18ème siècle pour retrouver les prémisses de cette pratique. Dans ses travaux sur le « magnétisme animal », le médecin Franz Anton Mesmer, soutient que certaines personnes disposeraient d’un « fluide » leur permettant de guérir les autres.
Son approche est rejetée par la communauté scientifique, jusqu’à ce qu’un britannique, James Braid, s’empare du sujet un siècle plus tard. S’il réfute la théorie d’un fluide, il défend une idée : la parole et la suggestion peuvent provoquer des modifications dans le cerveau… et donc soulager les patients !
En France, la relation médecine-hypnose sera longtemps teintée d’ambivalence. Au 19ème siècle, de nombreux médecins vont s’y intéresser puis s’en détourner, comme le neurologue Jean Martin Charcot, et Sigmund Freud qui la pratiquera longtemps avant de fonder la psychanalyse.
Au milieu du XXème siècle, on verra apparaitre des approches plus modernes, notamment avec le psychiatre américain Milton Erickson. Il mettra en lumière les ressources internes de l’individu comme facteur essentiel de guérison. C’est l’hypnose ericksonienne.
Autrefois décriée, cette discipline a gagné sa légitimité grâce à son efficacité dans différentes applications thérapeutiques.
Avec l’imagerie cérébrale on franchit un nouveau cap ! L’état modifié de la conscience est attesté scientifiquement, et on comprend que le cerveau fonctionne différemment dans cet état.
Aujourd’hui, de nombreuses cliniques et hôpitaux font appel à des hypnothérapeutes pour accompagner la prise en charge de leurs patients.
Il en existe plusieurs types: classique, humaniste, elmanienne… Pour ma part à Lyon j’utilise l’hypnose éricksonienne, qui est une forme douce et bienveillante intégrant parfois des techniques de PNL.
Voici comment les différencier :
Hypnose classique
Assez autoritaire et directe, c’est la version originale, celle de 1841. Elle est basée sur des suggestions directes (du type « l’avion est un moyen de transport sur »), que l’on peut répéter indifféremment à tous les patients.
Dite de ''spectacle"
C’est la plus médiatique… mais la moins pratiquée ! C’est celle des shows télévisuels, avec de « l’hypnotiseur » comme Mesmer. Très loin de ce qui se passe à mon cabinet.
Hypnose humaniste
Avec cette approche, pas de suggestions directes. Le patient est mis dans « un état de conscience augmentée », et le thérapeute se place en simple guide pour lui permettre de donner du sens à ses troubles et agir sur son inconscient.
Hypnose Elmanienne
Plutôt paternaliste, elle est réputée rapide pour obtenir une transe profonde. Pour y parvenir, l’hypnothérapeute adopte dans une posture dirigiste. Cette pratique s’adapte à tous types de fonctionnements : analytiques, non analytiques, visuels, kinesthésiques, auditifs…
Hypnose Ericksonienne
C’est celle que je pratique. Elle est particulièrement bienveillante et douce, et puise parmi plusieurs techniques de communication afin de créer des passerelles avec l’inconscient : métaphores, activation de rêves, suggestions indirectes ou composées, altération sensorielle…
Milton Hyland Erickson
Elle vient du nom de son inventeur Milton Hyland Erickson, un psychiatre américain.
Son approche innovante repose sur une conviction : nous possédons tous en nous, les ressources pour dénouer les nœuds qui nous entravent. Le travail du thérapeute est de permettre au patient, d’accéder à ces clés, disponibles à un niveau inconscient.
Avec elle, on sort des postures autoritaires telles qu’elles sont pratiquées auparavant. C’est une approche tout en douceur, et bienveillante. C’est sur cette base que les membres de l’école de Palo Alto construiront la programmation neuro linguistique (PNL).
Milton Erickson enseignait à ses étudiants le respect du patient, et de leurs besoins individuels. C’est une philosophie qui me parle, et que j’ai choisi lors de ma formation.
Lorsque vous venez à mon cabinet à Lyon 9, chaque accompagnement est personnalisé, et vous êtes véritablement au centre du travail thérapeutique que nous allons effectuer.
Votre engagement est très important, une réelle motivation de votre part est indispensable. Je suis là pour vous guider, vous amener vers le changement.
Vous êtes partie prenante de la thérapie. Si vous n’êtes pas prêt et suffisamment motivé, rien ne pourra vraiment se faire.
Important :
Seul un médecin est habilité à poser des diagnostics ; prescrire, modifier ou supprimer tout traitement médical.
Toute question relevant du domaine médical est à poser à votre médecin traitant.
À tout moment, dans un intérêt commun, je me réserve le droit de vous orienter vers un professionnel du corps médical, si les outils dont je dispose ne vous sont plus adaptés.
Les personnes atteintes de psychoses et d’épilepsie ne peuvent pas être prises en charge